Les bonnes nouvelles du 18 mai 2023
Cette semaine, une pluie de bonnes nouvelles au Sommet Climat Montréal, une application gratuite pour encourager le covoiturage dans le Grand Montréal et la protection d’une tourbière dans le Bas-Saint-Laurent.
Que des solutions concrètes et inspirantes. Ici au Québec. Pour ceux qui veulent s’y mettre comme pour les initiés. Pas l’temps de niaiser.
Nos journalistes mettent de l’avant des avancées positives, des initiatives prometteuses et des gestes qui créent le mouvement. On est rigoureux, sans se prendre au sérieux.
Cette semaine, une pluie de bonnes nouvelles au Sommet Climat Montréal, une application gratuite pour encourager le covoiturage dans le Grand Montréal et la protection d’une tourbière dans le Bas-Saint-Laurent.
Cette semaine dans les bonnes nouvelles, de l’engagement et de l’argent pour s'adapter aux changements climatiques! Au menu : Postes Canada veut mettre la hache dans ses émissions de gaz à effet de serre, un financement de 40 millions pour la protection des berges contre l'érosion dans l'Est-du-Québec et un cri du cœur pour une plus grande mobilité durable dans le Grand Montréal.
Une manière efficace d’atténuer l’écoanxiété passe par le partage de bonnes nouvelles environnementales. Au menu cette semaine : une collecte historique de piles recyclées dans la province, un nouveau règlement municipal qui déclenche les passions et une augmentation des tarifs pour les grandes entreprises polluantes du Québec. Bonne lecture!
Sensible au sort de la planète depuis sa tendre enfance, Rhodnie Désir évoque les changements climatiques dans ses spectacles. Rencontre avec une chorégraphe qui croit au pouvoir transformateur des arts.
Le covoiturage a des effets durables et positifs, non seulement pour l’environnement, mais également sur les habitudes de conduite. On vous donne quelques trucs pour rendre l'expérience encore plus formidable...
Sur roues ou sur les rails, on prend la route des bonnes nouvelles! Le transport représente près de 45% des émissions de gaz à effet de serre de notre belle province, alors Unpointcinq a décidé de jeter un œil sur les avancées dans le domaine de la mobilité durable. Verdict? Ça bouillonne de solutions!
Il y a de plus en plus de microbrasseries au Québec, et qui dit plus de bières dit plus de déchets. Après le brassage, il reste des drêches. Ces résidus céréaliers finissent souvent à l’enfouissement, mais des entreprises d’ici leur donnent une étonnante deuxième vie.
Solution prometteuse pour lutter contre les changements climatiques, l’économie circulaire est encore balbutiante au Québec. Dans le domaine de l’agriculture, elle se répand au gré de projets novateurs ou de pratiques anciennes réinventées. Tour d’horizon de certaines initiatives implantées dans la province.
À l’école primaire de Price, dans le Bas-Saint-Laurent, une classe a reçu cette année la médaille d’argent de l’action climatique au Québec, à la suite de sa participation au projet Carbone Scol’ERE. Cette aventure a permis d’inculquer durablement de meilleurs comportements chez les élèves et les familles, pense l’enseignant qui a supervisé le groupe.
Depuis plusieurs années, la région est la proie de la sécheresse en été, une nouvelle réalité qui complique le travail des agriculteurs. L’heure est à l’adaptation dans les champs.
Dans l’Est-du-Québec, les municipalités ont pris en main l’essor de l’énergie éolienne et elles en ont collectivement fait un réel outil de développement local.
En ville, en banlieue ou en région, il est possible de faire un usage minimal de la voiture, voire de s’en passer, même si on a des enfants. Tout est question d’organisation, de motivation et de conviction, comme le montrent les portraits de ces quatre familles.
Recycler et revaloriser des pneus, c’est bien; les remettre en circulation, c’est encore mieux. C’est ce à quoi s’emploie Techno Pneu, une entreprise de Rimouski qui remoule des pneus depuis trois générations.
Évidemment, au Québec, il est pas mal plus difficile de se passer d’une voiture hors des grandes villes. Heureusement, quelques irréductibles défenseurs du transport en commun se creusent les méninges pour changer tout ça. Portrait d’une action en marche.
Que ce soit en production maraîchère, laitière ou bovine, des entreprises agricoles passent à l’action pour réduire leurs émissions de gaz à effet de serre (GES) et leur empreinte écologique. Voici le portrait de quatre d’entre elles.
Célèbre pour son fromage en grains, la fromagerie des Basques de Trois-Pistoles s’est lancée en 2011 dans une aventure qui, à l’époque, était tout sauf banale : calculer l’empreinte carbone de ses fromages.
Après la vague des microbrasseries, c’est au tour des microdistilleries québécoises de profiter de l’engouement pour les produits d’ici. Ironiquement, elles doivent importer leurs baies de genièvre d’Europe, alors qu’il en pousse au Québec, à l’état sauvage. Un projet de culture mobilisant distillateurs et cultivateurs pourrait cependant remédier à la situation.