L’écocentre… à la maison!
Comment se débarrasser de ses encombrants quand on n’a pas de voiture? Au sein de la MRC de La Rivière-du-Nord, on a mis sur pied un service de transport qui rend la gestion des déchets accessibles à tout le monde.
Que des solutions concrètes et inspirantes. Ici au Québec. Meta bloque nos contenus sur Facebook et Instagram, et Google suivra bientôt le pas. Abonnez-vous à notre infolettre pour découvrir des initiatives prometteuses et des gestes qui créent le mouvement.
Comment se débarrasser de ses encombrants quand on n’a pas de voiture? Au sein de la MRC de La Rivière-du-Nord, on a mis sur pied un service de transport qui rend la gestion des déchets accessibles à tout le monde.
Pour fêter le retour du printemps, pourquoi ne pas se faire plaisir avec quelques bonnes nouvelles sur l’environnement ? Au menu: le service BIXI étendu toute l’année, au grand plaisir des Montréalaises et Montréalais; un défi pour sensibiliser à l’importance des pollinisateurs et l’ouverture imminente d’une usine de compostage après 15 ans d’attente. Bonne lecture!
Fours, machines à café, grille-pains ou encore chemises défilent au Repair Café de Montréal. Leur particularité? Brisés, ils attendent de se faire réparer par les bénévoles de ce lieu où on insuffle une deuxième vie aux objets, tout en facilitant le partage de connaissances.
Réparer soi-même un objet brisé ou en créer un qui durera longtemps permet non seulement de réaliser des économies, mais aussi de réduire son empreinte environnementale. C’est une tendance qui a également des bons côtés pour l’estime de soi!
Maxime Bergeron, ancien travailleur minier de Rouyn-Noranda, a laissé en plan gros salaire et sécurité financière pour s’adonner à sa passion pour l’ébénisterie, en plus de donner une deuxième vie à des matériaux qui prennent autrement le chemin de l’enfouissement.
SUR LA ROUTE 3/3 — Aux quatre coins du Québec, des gens s’activent pour faire une véritable différence dans la crise écologique. Pour ce deuxième dossier régional, nous avons décidé de poser notre regard sur l’Estrie. Une région qui est aux prises avec son lot de défis environnementaux, mais qui est également dotée d’une impressionnante créativité pour y faire face. Dernier arrêt : l’organisme La forêt qui marche.
Depuis l’an dernier, un groupe d’étudiants et étudiantes en agriculture biologique du Cégep de Victoriaville lutte contre le gaspillage alimentaire grâce à son projet Cuisine anti-gaspi. D’une part, ces jeunes récupèrent la nourriture toujours comestible, activité connue sous le nom de déchétarisme, d’autre part ils et elles cuisinent des plats avec leurs trouvailles. Zoom sur le projet en trois étapes.
Et si la solution pour réduire l’empreinte environnementale de la mode consistait à assembler de vieux morceaux d’étoffe pour créer de nouvelles fringues? C’est ce que pense Annie Lafrenière, propriétaire d’une petite entreprise à Saint-Augustin-de-Desmaures.
Au menu des bonnes nouvelles cette semaine : petit détour chez nos voisins du Sud pour une décision historique du tribunal, un pas de plus vers l’électrification du transport scolaire au Québec et un rapport de la ville de Montréal qui donne espoir pour l’avenir (avec un gros bémol).
Pour sa 43e édition, le Festival International de Jazz de Montréal (FIJM) a accueilli des milliers de personnes dans le Quartier des Spectacles. De nombreux aménagements écoresponsables avaient été mis en place cette année afin de réduire l’impact environnemental du festival. Notre journaliste a voulu vérifier si jazz et gestion des matières résiduelles faisaient bon ménage.