Envie de travailler à nous épargner des gaz à effet de serre et à sauver l’environnement?
Dans la prochaine décennie, les emplois verts connaîtront une croissance de 8 % par an, et plus de 50 000 postes liés à la protection de l’environnement et du climat seront créés au Québec d’ici 2029 selon le dernier rapport d’ECO Canada. Voici les principaux métiers qui seront recherchés.
Des nettoyeurs qui font disparaître le CO2
Deux entreprises de nettoyage à sec de vêtements du Lac-Saint-Jean font preuve d’imagination pour réduire leur impact sur le climat. Voici comment!
Concessionnaire de motoneiges et carboneutre!
Le plus gros concessionnaire de motoneiges Ski-Doo au pays, Sports DRC, est maintenant carboneutre et fier d’encourager ses clients motoneigistes à le devenir.
Responsabilité sociale : cinq entreprises d’ici sur la « mappe monde »
Cinq sociétés québécoises figurent dans le top 100 des entreprises les plus responsables au monde, selon le palmarès de Corporate Knights. Preuve que le Québec est bien au cœur du changement.
Finance durable : vous avez plus de pouvoir que vous le pensez!
S’enrichir grâce à l’action climatique
Impossible de concilier réduction des gaz à effet de serre (GES) et économie en croissance ? Ne vous laissez par berner par ce faux dilemme. Nombre d’études indiquent que l’action climatique contribue à la richesse des entreprises et des pays.
Économie circulaire : 4 projets inspirants au Québec
L’économie circulaire ne cesse de faire des petits au Québec : des centaines de projets fonctionnent en boucle pour faire de nos « déchets » une véritable richesse collective. En voici quatre qu’Unpointcinq trouve particulièrement climato-sympathiques.
Les entreprises face au changement
Conseiller en ressources humaines agréé, Michel Maletto est une véritable référence dans le domaine du développement organisationnel et de la gestion du changement. Voici sa vision des défis qui attendent les organisations dans un contexte d’urgence climatique.
Économie circulaire : mettre les déchets en bouteille
S’il est un domaine où l’économie circulaire s’applique à merveille, c’est bien celui des boissons alcoolisées : plusieurs microbrasseries et microdistilleries ont conclu des partenariats avec d’autres entreprises afin que les déchets des uns trouvent une seconde vie chez les autres. Une lutte au gaspillage qui en est aussi une aux gaz à effet de serre (GES).
Pourquoi le Québec inc. pousse-t-il à la roue?
Image de marque à polir, pression croissante des actionnaires et marque employeur à cultiver sont autant de bonnes raisons pour les fleurons québécois de s’engager pour le climat. Mais si, au fond, ils ne le faisaient que par conviction ?
Ces PME qui prennent une longueur d’avance
Des petites et moyennes entreprises aux quatre coins du Québec innovent et revisitent leur manière de brasser des affaires afin de ne pas nuire au climat. Une décision qui s’avérera payante à plus ou moins long terme.
Le début d’un vent nouveau
Saviez-vous qu’il existe un « triangle des Bermudes » au Lac-Saint-Jean? C’est du moins le nom donné à un secteur très venteux près de Saint-Gédéon, où six éoliennes géantes seront érigées d’ici un an.
De la mer à la terre
Sur la Côte-Nord, David Hamel revalorise des restes de produits de la mer pour en faire de l’engrais et du compost performants et 100 % biologiques. Le climat lui dit merci!
Une motomarine qui fait bzzzzzz!
Les véhicules hors route (VHR) s’électrifient grâce à l’entreprise québécoise Taiga Motors qui, après avoir lancé la première motoneige électrique au monde, récidive sur l’eau avec l’Orca. Fini les pout pout pout, place au bzzzzzz! Et accrochez-vous bien parce que ça va vite. Très vite.
Quand les RH se mêlent d’action climatique
Organisation du covoiturage, appui au transport en commun, télétravail, mais aussi livraison de paniers de fermiers… De plus en plus d’entreprises l’ont compris : minimiser les conséquences environnementales de leurs activités, c’est bien, mais inciter leurs employés à agir pour le climat, c’est encore mieux.
Le défi du gin 100 % local
Après la vague des microbrasseries, c’est au tour des microdistilleries québécoises de profiter de l’engouement pour les produits d’ici. Ironiquement, elles doivent importer leurs baies de genièvre d’Europe, alors qu’il en pousse au Québec, à l’état sauvage. Un projet de culture mobilisant distillateurs et cultivateurs pourrait cependant remédier à la situation.