Des voitures électriques aux cœurs plus légers
Unpointcinq et Tabloïd s’unissent pour vous présenter des Québécoises et des Québécois qui placent l’action climatique au cœur de leurs initiatives.
Que des solutions concrètes et inspirantes. Ici au Québec. Pour ceux qui veulent s’y mettre comme pour les initiés. Pas l’temps de niaiser.
Nos journalistes mettent de l’avant des avancées positives, des initiatives prometteuses et des gestes qui créent le mouvement. On est rigoureux, sans se prendre au sérieux.
Unpointcinq et Tabloïd s’unissent pour vous présenter des Québécoises et des Québécois qui placent l’action climatique au cœur de leurs initiatives.
La pandémie n’a pas laissé de répit aux chercheurs qui étudient le climat et ses dérèglements, car si le nouveau coronavirus capte l’attention du monde, notre devenir sur Terre n’en reste pas moins suspendu à sa température future.
Les recherches de l’anthropologue Geneviève Brisson permettent de mieux comprendre les conséquences psychologiques et sociales liées à la gestion d’un désastre naturel.
L’entreprise de Mohamed Khalil transforme les déchets électroniques en matières premières, qui serviront à leur tour à produire de nouveaux appareils.
Le laboratoire de la professeure à l’ENAP Marie-Christine Therrien souhaite enseigner aux villes à devenir résilientes en s’inspirant des catastrophes du passé.
La technologie élaborée par Émilie Nadeau et son équipe va permettre de récupérer 95 % des composants des batteries de voitures électriques.
Vincent Guimont-Hébert contribue à un des plus importants chantiers de déconstruction écoresponsable au pays.
Cécile Bulle et son équipe travaillent sur une boussole permettant d’évaluer le cycle de vie de centaines de produits et services utilisés par les Québécois.
Au cours des trois dernières années, cinq vignobles urbains ont été plantés à Montréal, dont quatre sur des toits de bâtiments institutionnels. Unpointcinq a profité d’une journée de vendanges pour prendre le pouls de ce projet viticole qui participe au verdissement de la métropole.
L’industrie de la mode et des textiles est l’une des plus polluantes au monde et contribue à environ 10 % des émissions mondiales de gaz à effet de serre (GES), selon l’ONU. Voici trois entreprises québécoises qui participent à alléger l’empreinte environnementale de cette industrie en limitant notamment l’utilisation d’hydrocarbures.
Sur la Côte-Nord, David Hamel revalorise des restes de produits de la mer pour en faire de l’engrais et du compost performants et 100 % biologiques. Le climat lui dit merci!
Les véhicules hors route (VHR) s’électrifient grâce à l’entreprise québécoise Taiga Motors qui, après avoir lancé la première motoneige électrique au monde, récidive sur l’eau avec l’Orca. Fini les pout pout pout, place au bzzzzzz! Et accrochez-vous bien parce que ça va vite. Très vite.
Hubert Philion a entrepris de convertir à l’électricité un vieux tracteur au diesel, chose qui a rarement été tentée auparavant, voire jamais. Portrait d’un agriculteur survolté.
Gestion AgrIA lance un super projet pour augmenter la productivité dans les champs du Québec et, du même coup, diminuer les émissions de gaz à effet de serre (GES) des agriculteurs. On parle ici d’une bonne idée!
Depuis plus de 10 ans, la division canadienne d’une multinationale de climatiseurs se tourne vers l’économie sociale pour que ses produits soient bien recyclés et revalorisés.
Tous secteurs d’activités confondus, les industries québécoises ont grosso modo deux avenues pour réduire leur empreinte carbone : réduire leur consommation d’énergies fossiles ou revoir leurs procédés de fabrication. La première option est la plus évidente et la plus facile.
L’été 2020 s’annonce terriblement chaud. Particulièrement en ville, où les îlots de chaleur font encore plus grimper le mercure. Pour le faire redescendre, cinq villes dans le monde ont adopté des stratégies innovantes pour s’attaquer aux mini déserts urbains.