Expérimenter le slow travel en van électrique
Les véhicules récréatifs à propulsion électrique sont enfin arrivés au Québec. Notre collaborateur revient d’un court séjour dans les Cantons-de-l’Est dans une van sans pot d’échappement.
Que des solutions concrètes et inspirantes. Ici au Québec. Pour ceux qui veulent s’y mettre comme pour les initiés. Pas l’temps de niaiser.
Nos journalistes mettent de l’avant des avancées positives, des initiatives prometteuses et des gestes qui créent le mouvement. On est rigoureux, sans se prendre au sérieux.
Les véhicules récréatifs à propulsion électrique sont enfin arrivés au Québec. Notre collaborateur revient d’un court séjour dans les Cantons-de-l’Est dans une van sans pot d’échappement.
Les déplacements actifs, ça ne se résume pas à la marche ou au vélo. Pourquoi ne pas se rendre au travail en courant? Ça n’émet pas de gaz à effet de serre, c’est super santé, valorisant et c’est aussi le moyen le plus rapide, disent ses adeptes, de parcourir de courtes distances. Bye bye, bouchons de circulation!
Cette semaine dans les bonnes nouvelles, de l’engagement et de l’argent pour s'adapter aux changements climatiques! Au menu : Postes Canada veut mettre la hache dans ses émissions de gaz à effet de serre, un financement de 40 millions pour la protection des berges contre l'érosion dans l'Est-du-Québec et un cri du cœur pour une plus grande mobilité durable dans le Grand Montréal.
Les motoneiges à essence seront bientôt des machines en voie de disparition dans les parcs nationaux du Québec. La Sépaq entreprend la conversion de son parc de motoneiges à essence, qui compte 115 machines, par des motoneiges 100 % électriques. Le but : décarboner sa flotte de véhicules.
À l’heure de la transition écologique et de la congestion routière endémique, les grandes villes du Québec devraient-elles imiter Dunkerque? Cette agglomération française de 200 000 habitants a démontré que la gratuité du transport collectif peut être un moteur de changement.
Ils et elles sont urbaniste, animateur radio, anthropologue, sportive, professeur, médecin, chercheuse, experte en mobilité durable, « jeune ministre »… Nous leur avons demandé quelle était leur bonne nouvelle climatique pour l’année qui s’achève. Le portrait global qui se dessine met du baume au cœur.
Avoir une auto, c’est parfois nécessaire dans la vie de tous les jours. Pour ne pas la laisser dormir dans l’allée lorsqu’elle n’est pas utilisée, certaines personnes la prêtent. D’autres vont plus loin et essayent la garde partagée. Et vous?
Grâce au service de vélopartage à assistance électrique àVélo, notre collaborateur, ce fier résident de Québec, s’est converti pour de bon à la mobilité active. Du moins, six mois par année. Retour sur expérience.
La mobilité électrique accentue le besoin en batteries et, par ricochet, la nécessité de les recycler. Des solutions technologiques et industrielles sont déjà en développement au Québec.
Pour effectuer la cinquantaine de kilomètres qui sépare sa maison de Clermont de son lieu de travail, l’Hôpital de Baie-Saint-Paul, Isabelle Lajoie n’avait pas le choix : il fallait prendre le volant. Depuis cet été, la Corporation de mobilité collective de Charlevoix (CMCC) lui offre une option climato-sympathique plus que bienvenue!