Expérimenter le slow travel en van électrique
Les véhicules récréatifs à propulsion électrique sont enfin arrivés au Québec. Notre collaborateur revient d’un court séjour dans les Cantons-de-l’Est dans une van sans pot d’échappement.
Que des solutions concrètes et inspirantes. Ici au Québec. Pour ceux qui veulent s’y mettre comme pour les initiés. Pas l’temps de niaiser.
Nos journalistes mettent de l’avant des avancées positives, des initiatives prometteuses et des gestes qui créent le mouvement. On est rigoureux, sans se prendre au sérieux.
Les véhicules récréatifs à propulsion électrique sont enfin arrivés au Québec. Notre collaborateur revient d’un court séjour dans les Cantons-de-l’Est dans une van sans pot d’échappement.
Les déplacements actifs, ça ne se résume pas à la marche ou au vélo. Pourquoi ne pas se rendre au travail en courant? Ça n’émet pas de gaz à effet de serre, c’est super santé, valorisant et c’est aussi le moyen le plus rapide, disent ses adeptes, de parcourir de courtes distances. Bye bye, bouchons de circulation!
En journalisme, les normes déontologiques qui encadrent le choix des sources sont strictes. C’est pourquoi je vous invite à considérer ce qui suit comme une chronique certes factuelle, mais subjective, plutôt qu’un article des plus sérieux. Parce que son sujet central, en fait, c’est ma mère.
Dans le passé, on a interdit la publicité pour les cigarettes en raison de leur aspect nocif pour la santé. N’est-il pas temps de faire de même pour les automobiles, surtout pour les plus nuisibles pour le climat?
La Ville de Mont-Tremblant opte pour une solution simple et efficace pour concurrencer l’auto solo : rendre son service d’autobus entièrement gratuit. Et ça marche. Malgré la popularité du télétravail depuis la période pandémique, l’achalandage dans son réseau a explosé. Preuve que le transport collectif peut être viable et efficace en région.
Les motoneiges à essence seront bientôt des machines en voie de disparition dans les parcs nationaux du Québec. La Sépaq entreprend la conversion de son parc de motoneiges à essence, qui compte 115 machines, par des motoneiges 100 % électriques. Le but : décarboner sa flotte de véhicules.
Actuellement, on entend tout et son contraire sur l'électrification des transports et le débat est très polarisé. Quoi croire? Qui croire? L’auto électrique, c’est bon pour le climat ou pas? Répondre à cette question en 5 minutes, c’est tout un défi, mais Isabelle Lessard, cheffe scientifique à Unpointcinq a tenté de le relever.
Avoir une auto, c’est parfois nécessaire dans la vie de tous les jours. Pour ne pas la laisser dormir dans l’allée lorsqu’elle n’est pas utilisée, certaines personnes la prêtent. D’autres vont plus loin et essayent la garde partagée. Et vous?
Grâce au service de vélopartage à assistance électrique àVélo, notre collaborateur, ce fier résident de Québec, s’est converti pour de bon à la mobilité active. Du moins, six mois par année. Retour sur expérience.
Pour effectuer la cinquantaine de kilomètres qui sépare sa maison de Clermont de son lieu de travail, l’Hôpital de Baie-Saint-Paul, Isabelle Lajoie n’avait pas le choix : il fallait prendre le volant. Depuis cet été, la Corporation de mobilité collective de Charlevoix (CMCC) lui offre une option climato-sympathique plus que bienvenue!
Située au nord-ouest de l’Espagne, la ville de Pontevedra, 83 000 habitants, a relevé et réussi un défi audacieux : réduire drastiquement la circulation automobile pour restituer son centre-ville aux piétons. Un modèle transposable au Québec?
Les travailleurs qui vont au boulot en vélo à assistance électrique (VAE) y arrivent dans de meilleures dispositions, révèle Vélovolt, une campagne de sensibilisation qui cherche à verdir les transports au Québec.
ALBUM PHOTO - De nombreux cyclistes sont passés à la vitesse supérieure cet été. Leur projet ? Transporter des charges importantes à l’aide de leur vélo-cargo ou d’une remorque. La preuve en images!
Selon Ghislain Lejeune, la moto électrique est la monture idéale pour dévorer de l’asphalte sur de longue distance. Rencontre avec un passionné de l’électromobilité.
Habiter en banlieue n’est pas toujours synonyme de dépendance à la voiture. À Boucherville, une option s’offre aux gens pour se déplacer rapidement, sans dépenser un sou : l’autobus électrique.
Le vélo en libre-service n’est plus seulement l’apanage des grandes villes au Québec. Des systèmes font petit à petit leur apparition en région.
Mode de transport qui n’émet aucune émission polluante et alternative à l'auto-solo, le vélo contribue à réduire les émissions de GES. Si, en plus de simplement pédaler, vous pouvez transporter de lourdes charges sur une remorque accrochée à votre bicyclette - votre épicerie, du matériel de rénovation ou même votre déménagement - c'est le jackpot climatique !