Les 10 secrets d’un échange de vêtements réussi
Face à sa garde-robe débordante de fringues (trop) peu portées ou dont elle s’est lassée, une fashionista a décidé d’agir. Elle nous refile les secrets d’un échange de vêtements réussi.
Que des solutions concrètes et inspirantes. Ici au Québec. Meta bloque nos contenus sur Facebook et Instagram, et Google suivra bientôt le pas. Abonnez-vous à notre infolettre pour découvrir des initiatives prometteuses et des gestes qui créent le mouvement.
Face à sa garde-robe débordante de fringues (trop) peu portées ou dont elle s’est lassée, une fashionista a décidé d’agir. Elle nous refile les secrets d’un échange de vêtements réussi.
Dans le cadre du défi Détox vestimentaire, l’équipe d’Unpointcinq a organisé un échange de vêtements… entre hommes. Une manière de déconstruire certains mythes et d’encourager la consommation plus responsable.
La réparation visible – ou visible mending en anglais – est une technique de broderie qui permet de faire durer plus longtemps un chandail ou une paire de jeans tout en dénonçant l’industrie de la fast fashion et ses vêtements jetables. Unpointcinq a rencontré Clara Quintela, orfèvre du visible mending.
En mars, participe au défi Détox vestimentaire d'Unpointcinq!
Pour les consommateurs soucieux de l’environnement, avoir accès à vaste choix de tissus écologiques est important. Parmi ceux qui sont offerts, une matière en pleine expansion a attiré notre attention : le lyocell. Unpointcinq a demandé à des experts ce qu’ils pensaient de cette fibre et si le Québec ne pourrait pas, à son tour, en produire.
Joueuse de soccer semi-professionnelle, navigatrice, océanographe, instructrice de plongée… À 40 ans, Geneviève Tremblay a vécu moult aventures. Désormais entrepreneuse, elle dirige avec sa sœur un centre d’entraînement et une marque de vêtements de sport biodégradables.
En attendant des mesures à grande échelle, il existe des solutions pratiques pour limiter la prolifération de microplastiques dans l’environnement. En voici six qui concernent nos vêtements.
Nos goûts changent, et les vêtements que l’on ne porte plus peuvent faire le bonheur des autres. Les élèves du Pensionnat du Saint-Nom-de-Marie, une école secondaire de Montréal, l’ont bien compris : elles ont organisé une garde-robe collective. Une activité bénéfique autant pour le portefeuille que pour le climat.
Adolescente, Émilie Bolduc accumulait les vêtements à peine portés dans sa garde-robe. Lorsqu’elle prend conscience des répercussions environnementales de l’industrie de la mode, la jeune femme change ses habitudes, puis lance sa propre friperie en ligne : Ship ta fripe.
Ne plus être en mesure de fermer la porte de son garde-robe à cause de tous ses vêtements a un impact sur le climat. Voici 5 conseils qui t’aideront à réduire ton empreinte carbone tout en restant à la mode.