Que des solutions concrètes et inspirantes. Ici au Québec. Meta bloque nos contenus sur Facebook et Instagram, et Google suivra bientôt le pas. Abonnez-vous à notre infolettre pour découvrir des initiatives prometteuses et des gestes qui créent le mouvement.
À 16 ans, Augustine Packwood s’investit beaucoup dans son milieu et défend différentes causes depuis plusieurs années. Portrait d’une adolescente qui a osé foncer et qui en est à son quatrième mandat au sein du Conseil national des jeunes ministres de l’environnement (CNJME).
Du haut de ses 17 ans, Emma Yiran Zhao est une jeune femme très impliquée dans la vie communautaire et sociale. Voulant en savoir plus sur son parcours au sein de l’organisation Sors de ta bulle, j’avais préparé plusieurs questions pour elle lors de notre rencontre à Québec en novembre dernier.
Depuis deux ans, Ludovic Pépin fait partie du Conseil national des jeunes ministres de l’environnement (CNJME) de la campagne Sors de ta bulle (Fondation Monique-Fitz-Back). Rencontre en cinq questions avec ce jeune homme engagé et motivé qui a à cœur de changer les choses, pour le mieux, autour de lui.
Certaines personnes bâtissent leur vie autour de leur engagement. C’est le cas de Mehramat Kaur, pour qui agir pour l’environnement, c’est amorcer une multitude de petites actions pour créer une vague de changements. Du haut de ses 16 ans, l’adolescente est un modèle pour les jeunes.
Après avoir pris conscience de la problématique environnementale, Olivier Lemieux est devenu jeune ministre de l’environnement du programme Sors de ta bulle, de la Fondation Monique-Fitz-Back. Il nous parle de son engagement pour la protection de la biodiversité.
À 15 ans, Isaac Brosseau Kharyati en est déjà à sa troisième année d’implication avec la Fondation Monique-Fitz-Back. Il a été jeune journaliste en environnement pendant deux ans avant de se lancer « en politique » en devenant jeune ministre de l’environnement. Rencontre avec un jeune homme lucide et sensible qui a la protection de la biodiversité à cœur.
Parle-t-on assez des changements climatiques à l’école? Non, répond Marie Maltais. Pour remédier à la situation, cette élève de 5e secondaire a créé un comité pour demander que ces questions aient plus de place dans le cursus.
Dans une vie, ce n’est qu’une infime portion des êtres humains qui seront amenés à parler lors d’un sommet climatique de l’Organisation des Nations Unies (ONU). Pourtant, c’est ce qui est arrivé à Severn Cullis-Suzuki à l’âge de 12 ans! Maintenant directrice de la fondation qui porte le nom de son père, David Suzuki, elle poursuit son parcours de militante pour l’environnement.
On entend de plus en plus parler de gaspillage alimentaire, mais avez-vous déjà entendu le terme « gaspillage vestimentaire »? Avec des vêtements toujours plus fragiles qui font le tour du monde plusieurs fois avant d’arriver dans notre magasin à rabais, l’impact sur l’environnement ne peut être que négatif. Pourtant, les solutions pour rendre la mode moins polluante existent!
Depuis l’an dernier, un groupe d’étudiants et étudiantes en agriculture biologique du Cégep de Victoriaville lutte contre le gaspillage alimentaire grâce à son projet Cuisine anti-gaspi. D’une part, ces jeunes récupèrent la nourriture toujours comestible, activité connue sous le nom de déchétarisme, d’autre part ils et elles cuisinent des plats avec leurs trouvailles. Zoom sur le projet en trois étapes.
