Apprendre ensemble à s’adapter
Le laboratoire de la professeure à l’ENAP Marie-Christine Therrien souhaite enseigner aux villes à devenir résilientes en s’inspirant des catastrophes du passé.
Que des solutions concrètes et inspirantes. Ici au Québec. Pour ceux qui veulent s’y mettre comme pour les initiés. Pas l’temps de niaiser.
Nos journalistes mettent de l’avant des avancées positives, des initiatives prometteuses et des gestes qui créent le mouvement. On est rigoureux, sans se prendre au sérieux.
Le laboratoire de la professeure à l’ENAP Marie-Christine Therrien souhaite enseigner aux villes à devenir résilientes en s’inspirant des catastrophes du passé.
Le Centre d’écologie urbaine de Montréal (CEUM) réalise depuis 25 ans des projets d’aménagement et de participation citoyenne qui contribuent à bâtir des villes à échelle humaine : plus écologiques, plus démocratiques et plus en santé. Unpointcinq a rencontré la directrice générale de l’organisme, Véronique Fournier. Elle explique comment les réponses à la crise sanitaire pourraient rendre nos villes plus résilientes face au climat.
À Sainte-Flavie, dans le Bas-Saint-Laurent, chaque tempête fait craindre le pire aux habitants. L’érosion côtière, accentuée par les changements climatiques, les place devant un choix déchirant : s’adapter – mais comment? – ou partir? Des pistes d’action se dessinent.
Récupérer l’eau de pluie pour recharger la nappe phréatique en eau potable? C’est l’un des paris de Trois-Rivières, qui désire s’adapter aux changements climatiques et à la multiplication des épisodes de pluies intenses. Rencontre avec les artisans d'un projet de réfection de rue qui s'est mérité les grands honneurs.
Du vin produit sur le toit du Palais des congrès de Montréal pour lutter contre les changements climatiques? Oh que oui, et c’est grâce à Véronique Lemieux, fondatrice de Vignes en ville.
Malgré sa nordicité, l’Abitibi-Témiscamingue n’est pas épargnée par les grandes chaleurs et les conséquences des changements climatiques. Mais petit à petit, la région se mobilise autour de cet enjeu, notamment en planifiant autrement l’aménagement de ses villes.
Placer la gestion des eaux de pluie au cœur d’un projet de quartier. Sur le papier, ça ne fait pas nécessairement rêver. Sauf qu’au final, ça donne une ruelle « bleue-verte », un espace de convivialité entre voisins sous le signe de l’adaptation aux changements climatiques. Photoreportage.
Les villes bien adaptées à la marche contribuent à diminuer les problèmes de santé et envoient promener les gaz à effet de serre. Au Québec, des groupes de piétons s’unissent pour valoriser et sécuriser ce mode de déplacement. À go, on change la ville!
Vivre dans un duplex, un château ou un bungalow, quel manque d’originalité! Pourquoi ne pas habiter plutôt un puits de carbone, un bâtiment dont la structure en bois séquestre le gaz carbonique de l’atmosphère?
Le premier écoquartier de Québec accueillait ses premiers habitants il y a un an. Zoom sur un milieu de vie à la fois sain, agréable… et à faible empreinte carbone.