Faire de la forêt notre alliée climatique
Bien que la forêt québécoise séquestre beaucoup de dioxyde de carbone (CO2), elle pourrait en faire plus pour nous aider à lutter contre le réchauffement planétaire. Voici pourquoi et comment.
Que des solutions concrètes et inspirantes. Ici au Québec. Pour ceux qui veulent s’y mettre comme pour les initiés. Pas l’temps de niaiser.
Nos journalistes mettent de l’avant des avancées positives, des initiatives prometteuses et des gestes qui créent le mouvement. On est rigoureux, sans se prendre au sérieux.
Bien que la forêt québécoise séquestre beaucoup de dioxyde de carbone (CO2), elle pourrait en faire plus pour nous aider à lutter contre le réchauffement planétaire. Voici pourquoi et comment.
Ulrich Legrand ne voit pas petit. Avec Electro Carbon, seule entreprise au monde spécialisée dans la conversion du CO2 en sel de déglaçage biodégradable, le chercheur de 31 ans compte bien contribuer aux objectifs canadiens de carboneutralité d’ici 2050.
Le buzzword dans le monde de la lutte aux changements climatiques, c’est l’acronyme CUSC, qui réfère au captage, à l’utilisation et au stockage de CO₂. Solution miracle pour atteindre la carboneutralité ou écoblanchiment? Unpointcinq fait le point avec deux experts.
Les espaces verts n’améliorent pas seulement l’esthétique des villes, ils apportent une multitude de bienfaits pour l’environnement, le climat et la santé humaine. Tour d’horizon des solutions à préconiser afin de naturaliser les milieux urbains, mais aussi des pièges à éviter.
L’herbe verte brille sous les rayons de soleil dans les pâturages de la ferme Taillon, tandis que les vaches sortent tranquillement de l’étable. Christian Taillon, un des propriétaires de cette ferme biologique située à Saint-Prime, au Saguenay–Lac-Saint-Jean, regarde, sourire aux lèvres, ses bêtes déambuler tout en expliquant le système de rotation des cultures qu’il a mis en place pour maximiser la fertilité des sols.
Le Québec compte des centaines d’anciens sites miniers abandonnés. En collaboration avec des chercheurs, des entreprises ont trouvé un moyen de leur donner une deuxième vie, tout en contribuant à la lutte contre les changements climatiques : elles les transforment en immenses puits de carbone.
Aider les administrations publiques et les organisations à accélérer leur transition écologique, voilà la mission que s’est donnée Eco2urb, qui dévoile son nouveau nom, Habitat, à l’occasion du Jour de la Terre. Portrait d’une entreprise d’ici qui fait du bien à la nature et au climat.
Épinettes, peupliers, bouleaux : tous les arbres sont des champions méconnus de l’action face aux changements climatiques. En aspirant du dioxyde de carbone – le fameux CO2, un des gaz à effet de serre (GES) –, ils pourraient nous aider à sauver le climat. On a gratté l’écorce pour découvrir leurs secrets.
Ce n’est pas un, ni deux, mais bien trois millions d’arbres qui vont bientôt être plantés en Abitibi. De quoi créer un gigantesque puits de carbone capable de stocker des tonnes et des tonnes de CO2 lorsque les forêts seront arrivées à maturité.
Un village du Témiscamingue connu pour son rodéo du camion (!) est en train de devenir une plaque tournante de la recherche sur la captation des gaz à effet de serre grâce aux travaux d’un chercheur passionné par les sols.