Peu importe la météo, ils ont adopté le transport actif pour se rendre au travail ou à l’école.
Sur deux pneus cloutés, sur leurs deux pieds, ou en arpentant les pistes de ski de fond, ces six Québécoises et Québécois pratiquent le transport actif quatre saisons. Ils partagent leurs astuces pour ne pas arriver suant au bureau, donnent des conseils d’équipement, et même les playlists qui les accompagnent au quotidien.
De Val-d’Or à Montréal en passant par Saint-Charles-Borromée, Unpointcinq a rencontré des gens comme vous et nous qui, malgré la pandémie, conjuguent aisément activité physique et protection du climat!
Illuminer les routes
Depuis 13 ans, François Bradet enfourche son vélo tous les jours, hiver comme été. Le soir venu, les passants s’émerveillent au passage de ce père de famille qui a décoré sa remorque de guirlandes lumineuses.
Coureur des rues et cycliste au besoin
Grand adepte de course à pied, Éric Noël est capable de terminer un marathon en trois heures! Quand il n’est pas en télétravail, il traverse le centre-ville de Montréal au petit trot pour se rendre au bureau.
Beau temps, mauvais temps… ça marche!
Emmanuel Gilbert travaille à 86 km de chez lui, ce qui ne l’empêche pas de marcher 3 km avant et après chaque journée de boulot. Une habitude dont ce lève-tôt ne peut plus se passer.
La Forrest Gump de Joliette
Comme le légendaire personnage incarné par Tom Hanks, Anne Champagne « court comme souffle le vent » et « dès qu’elle va quelque part, elle le fait en courant ».
Skier jusqu’à l’école
Le transport actif, c’est naturel pour Jean-Louis Doss, qui travaille comme guide et créateur de circuits pour une entreprise de tourisme. Avec son fils de 10 ans, Théo, il prend même le chemin de l’école primaire… en ski de fond.
Au boulot à vélo, même sous zéro
Rouler à deux roues l’hiver en pleine métropole peut sembler un sport extrême. C’est pourtant ce que fait Ehrel Diard qui, sans être une athlète, parcourt chaque jour 12 km aller-retour pour se rendre au travail.