Coureur des rues et cycliste au besoin

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©Courtoisie
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25 novembre 2020 - Stéphane Gagné, Journaliste

Grand adepte de course à pied, Éric Noël est capable de terminer un marathon en trois heures! Quand il n’est pas en télétravail, il traverse le centre-ville de Montréal au petit trot pour se rendre au bureau.

Éric Noël
36 ans
Directeur de course, Triathlon International de Montréal et On court Montréal
En couple, cinq enfants
Rosemont, Montréal

Avant cet automne, Éric Noël travaillait au Stade olympique, à 4 km à peine de son domicile. Depuis octobre 2020, toutefois, son nouveau lieu de travail est situé à 12 km de chez lui, près du marché Atwater. Qu’à cela ne tienne : « J’ai commencé à m’y rendre à la course deux fois par semaine, car j’étais en télétravail le reste du temps. Je l’ai fait jusqu’en décembre, avant qu’on soit en télétravail à 100 % à cause de la pandémie », raconte le Rosemontois, qui s’est promis de répéter l’expérience dès qu’il retournera au bureau.

Éric trouve en effet que c’est une excellente façon de s’entraîner, de réduire son empreinte écologique et d’arriver au travail éveillé et dynamisé. Autre avantage non négligeable pour ce père de famille : « C’est plus rapide qu’en transports en commun, ajoute-t-il. En bus et en métro, ça me prend une heure environ alors qu’en courant, je mets à peu près 50 minutes à l’aller. Au retour, c’est un peu plus long, car j’ai une côte à monter. » Cycliste quatre saisons, il lui arrive de faire le trajet à vélo, lorsqu’il a « plus de choses à transporter ».

Côté logistique, Éric laisse des vêtements au bureau pour se changer une fois à destination. Et comme il n’y a pas de douche, il court à un rythme modéré, histoire de ne pas arriver tout en sueur et de pouvoir remettre au retour les vêtements de course du matin. En hiver, il opte pour la technique de l’oignon. Plus il fait froid, plus il ajoute des couches. Il porte aussi une veste plus longue.

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Quand il n’est pas en télétravail, Éric Noël traverse le centre-ville de Montréal au petit trot pour se rendre au bureau. ©Courtoisie

Au début, ses collègues de travail ont été surpris de le voir adopter le mode actif, surtout les jours de pluie ou de bordée de neige. « Aujourd’hui, ils me connaissent et se sont habitués », rigole le trentenaire qui ne rate aucune occasion de promouvoir l’activité physique.

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