Un bureau sobre en carbone, ça existe ! À condition de le localiser judicieusement. L’organisme Vivre en ville y travaille.
Dans les festivals, la vie est belle. On écoute de la bonne musique, on chill au max, mais… on génère beaucoup de gaz à effet de serre! Tadam : au Québec, des organisateurs de festivals prouvent qu’il est possible de faire la fête sans polluer. Tour de piste.
Achats locaux, récupération des eaux grises, compostage, bannissement du plastique : au Québec, des salles de spectacles barrent la route aux gaz à effet de serre. Histoire d’un mouvement qui prend de l’ampleur.
Au lieu d’enfouir ses déchets, la ville de Saint-Hyacinthe mise depuis 2008 sur la biométhanisation pour produire du gaz naturel renouvelable à partir de matières résiduelles. La demande est si grande qu’elle vient d’agrandir ses installations, ce qui permettra d’éviter l’émission de 49 000 tonnes de CO2 par année, soit l’équivalent du retrait de la circulation de plus de 15 000 voitures sur un an.
Unpointcinq a suivi pas à pas WSP-Bioénertik, l'une des 10 équipes ayant participé au premier Défi Changements Climatiques (D2C) organisé les 11, 12 et 13 mai derniers par Réseau Environnement et CAP Développement Durable. Un événement proposé en collaboration avec la Direction du Développement Durable de HEC et Énergir.
Pour réduire les émissions de GES associées à l’agriculture et à l’enfouissement des déchets organiques, l’entreprise Prorec de Saint-Hyacinthe a décidé de traiter ses porcs aux petits oignons. Des cochons à qui l’on sert chaque jour un véritable festin!
Pour que l’eau d’érable s’écoule jusqu’à la cabane, il faut des tubulures, ces drôles de spaghettis bleus en plastique. Pour éviter leur enfouissement une fois jetés, Environek, une entreprise québécoise d’économie sociale, les transforme en granule qui serviront à construire des sièges de balançoires.
Peut-on respecter une tradition québécoise comme le temps des sucres tout en le revisitant? C’est le pari que fait le propriétaire de la Cabane à Tuque, un établissement sans viande où tout est mis en œuvre pour minimiser l’empreinte carbone des repas sucrés.
Pour combler la demande croissante des agriculteurs en fertilisants et réduire leurs coûts d’approvisionnement, une entreprise québécoise souhaite séduire les municipalités avec une nouvelle technologie qui permet de valoriser les déchets de leurs citoyens pour éviter quantités d'émissions de GES.
Gestion des déchets ou de l’eau, économie circulaire ou transition énergétique, l’innovation et les nouvelles technologies joueront un rôle central dans la lutte contre les changements climatique. Du robot recycleur à la gestion intelligente des données, bienvenue dans l’ère 4.0 des percées environnementales.
