Action climatique : les bonnes nouvelles du 1er avril 2022

Bonnes nouvelles
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Cette semaine, nos bonnes nouvelles sont encore 100% véridiques (pas de poisson d’avril, promis) : le vélopartage Bixi connaît une popularité sans précédent, des poivrons qui peuvent enfin pousser en serre l’hiver grâce à l’intelligence artificielle, et un agréable séjour dans un hôtel carboneutre.

Millionnaires de la mobilité

Vous souvenez-vous de l’arrivée des bixis dans la métropole, en 2009? Le premier été, il y avait 300 stations à Montréal, la première ville en Amérique du Nord à proposer des vélos en libre-service. Treize ans plus tard, la bécane a fait du chemin avec ses 50 millions de déplacements au compteur et ses 700 stations. Selon l’organisme à but non lucratif qui gère Bixi, c’est une économie de 13 millions de litres d’essence, soit 40 000 tonnes d’équivalent CO2.

Le célèbre vélo en aluminium reprend du service le 15 avril, et cet été il y aura un total de 2400 vélos électriques disponibles pour les longs déplacements. Les cobénéfices du Bixi sont nombreux : il crée des emplois locaux et stimule l’accessibilité au transport actif. Et quand les touristes découvrent la ville à vélo plutôt qu’en voiture, Montréal ne peut que sentir meilleur!

Bixi Montreal
© Bixi 2016

Tirer profit au maximum de la lumière solaire

L’entreprise de luminaires Sollum Technologies continue à éclairer les serriculteurs d’ici. L’institut de technologie agroalimentaire du Québec a installé son éclairage intelligent DEL dans sa serre de recherches sur la production de poivrons et d’aubergines. L’institut d’enseignement de Saint-Hyacinthe mise sur cette option d’éclairage qui reproduit, perfectionne et module le spectre de la lumière naturelle.

poivrons en serre
© Stockfilmstudio / Envato

La promesse de Sollum est séduisante : créer une recette d’éclairage particulière à chaque produit et à chaque condition lumineuse en serre grâce à l’intelligence artificielle. Pour les cultivateurs, on parle d’une économie d’énergie de 40%. Une bonne nouvelle pour notre autonomie alimentaire, mais aussi pour la planète, puisque que les fruits et légumes cultivés grâce à cette solution lumineuse se conserveraient plus longtemps et seraient ainsi moins gaspillés.

Investir le marché du tourisme carboneutre

Peu d’hôtels sont certifiés carboneutre au Québec. Dans la Capitale-Nationale, une adresse se démarque en matière d’écoresponsabilité : l’Hôtel Nomad. En plus d’être carboneutre, c’est-à-dire qu’il réduit, mais aussi compense ses émissions de gaz à effet de serre (GES) depuis 2021, il vise le « zéro émission » en 2027, autrement dit ses activités n’émettraient plus aucun GES.

Pour limiter l’empreinte carbone de ses opérations et de sa clientèle, ce joli petit lieu d’hébergement mise sur l’éclairage DEL, le chauffage électrique, l’installation d’économiseurs d’eau, l’acquisition d’une voiture électrique, l’installation d’une borne de recharge dans son stationnement, et le recourt aux circuits courts d’approvisionnement.

L’Hôtel Nomad a évalué ses émissions de gaz à effet de serre à 2,5 tonnes d’équivalent CO2 en 2021. Depuis, il compense ses émissions en partenariat avec Carbone Boréal et tente désormais de les réduire pour mieux lutter contre le réchauffement climatique. Chapeau bas!

Hôtel Nomad
© Courtoisie Hôtel Nomad

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