«L’un des gestes que j’ai adoptés récemment est l’utilisation du shampoing solide. C’est un geste simple que j’aime beaucoup et j’en suis fière parce que je gaspillais beaucoup de shampoing liquide avant.» ©Sonyachny/envato
Curieuse et engagée, Delphine Morasse s’intéresse autant aux arts qu’à l’environnement.
Par Delphine Morasse, 16 ans, École secondaire Leblanc, à Laval
Jeune journaliste en environnement Sors de ta bulle – Cohorte 2021
Je m’intéresse à diverses choses dans la vie, la plus évidente étant la nature. J’aime aussi l’art, en général, et le théâtre, la lecture et l’écriture en particulier. Je fais plein d’autres choses connexes à celles-ci. Je m’implique par exemple dans mon école avec le comité vert. Ce qui me motive à défendre l’environnement, c’est notre avenir : je veux qu’on vive en harmonie avec notre planète et non contre elle.
Le geste dont je suis fière
L’un des gestes que j’ai adoptés récemment est l’utilisation du shampoing solide. C’est un geste simple que j’aime beaucoup et j’en suis fière parce que je gaspillais beaucoup de shampoing liquide avant. Dans une bouteille normale, il en reste toujours qu’on ne peut pas utiliser. Comme j’achète mon shampoing solide en vrac, il n’y a aucun emballage et c’est une autre amélioration concrète que je peux voir.
Le geste que je ne pose pas
J’avoue que je continue d’utiliser de la peinture acrylique. En fait, ce qui est nocif, c’est le lavage des pinceaux qui transmet les particules de peinture dans l’eau. La solution serait d’utiliser de la peinture naturelle, mais ça revient plus cher et le nettoyage est très complexe si on veut séparer la peinture de l’eau. Je choisis donc l’option la plus rapide et la moins chère au quotidien.
