
Au cours du dernier Sommet jeunesse sur les changements climatiques (SJCC), qui s’est tenu à Québec, Luc Tittley, directeur pour Environnement et changement climatique Canada, s’est adressé aux participantes et participants. Bien que bref, son discours a été des plus motivants.
Par Alice Beaulieu, Jeune journaliste en environnement Sors de ta bulle – Cohorte 2024
Le rôle de l’administrateur Luc Tittley est de soutenir le ministre fédéral de l’Environnement et du Changement climatique, Steven Guilbault, dans ses activités de communication publique. « Mon équipe est composée de 15 personnes réparties sur tout le territoire canadien », m’a expliqué le directeur Littératie et Engagement au sein de la direction générale des affaires publiques et des communications d’Environnement et Changement climatique Canada lors de notre rencontre à l’occasion du Sommet jeunesse sur les changements climatiques (SJCC), au printemps dernier.
Père de famille, Luc Tittley doit constamment jongler entre l’idéal écologique et la réalité quotidienne. Dans sa vie de tous les jours, il est surtout concerné par les enjeux de transport. Ses deux filles l’aident toutefois à devenir chaque jour meilleur par rapport à ses défis. Dans le futur, il espère continuer à s’améliorer, un petit geste à la fois, en s’inspirant de personnes impliquées comme celles qui étaient présentes au SJCC.
Toutes et tous ont un rôle à jouer
Même si Luc Tittley reconnaît qu’il est compliqué de différencier les vraies des fausses nouvelles, il croit sincèrement que les citoyennes et citoyens devraient prendre le temps de bien s’informer, surtout en ce qui concerne l’environnement, car, précise-t-il, « bien communiquer permet de convaincre et, finalement, de mobiliser ».
Selon lui, les jeunes sont la clé du changement, car ils et elles peuvent influencer leurs proches. Il ajoute que la jeunesse a le pouvoir d’apporter un « vent de changement positif » sur le monde.
À la tribune du SJCC, s’adressant aux jeunes de l’auditoire, Luc Tittley a rappelé qu’il n’y a « pas de petites victoires. Chaque geste que vous poserez, même le plus minime, est une victoire. Chaque petit geste, chaque discussion peuvent éventuellement mener à quelque chose d’énorme et contribuer aux changements de comportements ».
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L’expérience de rédaction d’Alice
Cet article a été l’un des plus compliqués à écrire faute d’informations. Le Sommet jeunesse étant très chargé, le temps accordé à l’entrevue de Luc Tittley était très bref. J’ai donc eu très peu de contenu. Toutefois, j’ai beaucoup apprécié de le rencontrer. Il était intéressant de discuter avec un haut fonctionnaire fédéral en environnement.