
Adepte de plein air et de natation, la jeune Montréalaise Marie Cousineau a l’environnement à cœur.
Par Marie Cousineau, 17 ans, École secondaire Père-Marquette, à Montréal
Jeune journaliste en environnement Sors de ta bulle – Cohorte 2021
Je me décrirais comme une personne joviale, positive, déterminée et résiliente. Je m’implique beaucoup au sein du Comité vert de mon école, dont je suis l’une des responsables. J’ai participé à des activités ou des événements organisés par Jeunes Engagés pour le Développement Durable et ENvironnement JEUnesse, ainsi qu’à l’École d’activisme de la Fondation David Suzuki. Avant la COVID-19, je m’investissais beaucoup : je participais à des manifestations à Montréal et à des piquetages devant mon école secondaire. Je crois que faire partie du Laboratoire des jeunes journalistes en environnement est un moyen idéal pour moi de m’impliquer davantage et de m’exprimer. Cela va aussi me permettre de développer de nouvelles qualités et de me découvrir de nouveaux champs d’intérêt.

Le geste dont je suis fière
Depuis deux ans, je suis végétarienne, c’est-à-dire que je ne mange aucune viande. J’ai pris la décision de retirer les protéines animales de mon alimentation pour des raisons environnementales et morales : l’élevage et la production de viande à grande échelle émettent beaucoup de gaz à effet de serre (GES), ce qui est très néfaste, et les animaux sont souvent élevés et abattus dans de mauvaises conditions. La consommation de viande ne me manque pas du tout; je trouve qu’il y a tellement plus de variété et de possibilités dans la cuisine végétarienne et c’est surtout beaucoup plus coloré.
Le geste que je ne pose pas
J’essaie le plus possible d’éviter les déplacements en voiture, mais je suis aussi une fanatique de randonnée pédestre et de vélo. J’aime bien en faire à Montréal et à proximité de la ville. Toutefois, il m’arrive de prendre la voiture pour aller découvrir de nouveaux sentiers, pédaler sur des routes différentes et voir de nouveaux paysages.