Des membres de la Cité écologique de Ham-Nord, un écovillage situé dans la région des Bois-Francs, au Québec ©Courtoisie Cité Écologique
Retombées positives générales
Cohabitat, éco-colocation, écovillage, habitat participatif, « coop »… tous ces termes désignent des modes de vie collectifs choisis dont les bienfaits pour le climat et l’environnement sont nombreux.
Communauté intentionnelle
C’est le terme « parapluie » pour définir tous les types d’habitat collectif décrits ci-dessous. Selon la Foundation for Intentional Community, la communauté intentionnelle est « un groupe de personnes qui ont choisi de vivre ensemble et de partager des ressources sur la base de valeurs communes ». Nous vous racontons ici l’histoire de La Cafétéria.
Cohabitat
Le concept du cohabitat prend son origine au Danemark dans les années 1970, explique l’organisme Cohabitat Québec. Il s’agit d’une communauté intentionnelle soudée autour de valeurs sociales et environnementales communes qui « offre dans une atmosphère sécuritaire et enrichissante à la fois les avantages de la propriété privée et ceux de généreux aménagements communs ». En voici un exemple dans la ville de Québec.
Éco-colocation (ou écolocation)
Ce terme désigne des personnes qui partagent les mêmes valeurs et engagements autour de l’écologie, de la protection de la planète et qui, en vivant sous un même toit de façon volontaire, mettent en commun des ressources afin de réduire leurs empreintes climatique et environnementale. Voici les témoignages de personnes qui vivent en éco-colocation.
Coopérative d’habitation
Selon la Fédération de l’habitation coopérative du Québec, la coop d’habitation est « une entreprise collective qui offre un logement à ses membres, ces derniers possédant conjointement le ou les immeubles de la coopérative dont ils assurent collectivement la gestion ». Plus de 50 000 personnes vivent dans près de 1200 coopératives au Québec.
Écovillage
L’organisme de conservation TerraVie définit l’écovillage comme un modèle de communauté qui tente « d’intégrer un environnement social d’entraide ayant un faible impact sur l’écosystème ». Pour y parvenir, les membres d’un écovillage « intègrent différents aspects comme la permaculture, la construction écologique, la production verte, l’énergie renouvelable, l’agriculture autosuffisante et plus encore ». Visitez cette page pour connaître les écovillages du Québec.
Habitat participatif
Cette expression est utilisée en France et désigne « des groupes de personnes [qui décident] de construire leur logement et de partager un mode de vie écologique et communautaire, à moindre coût », selon le ministère de la Transition écologique et de la Cohésion des territoires. Ce type d’habitat est encadré par la loi et dispose d’un statut juridique.
