Que des solutions concrètes et inspirantes. Ici au Québec. Meta bloque nos contenus sur Facebook et Instagram, et Google suivra bientôt le pas. Abonnez-vous à notre infolettre pour découvrir des initiatives prometteuses et des gestes qui créent le mouvement.
Vivre sans voiture serait la deuxième action climatique la plus efficace après « faire un enfant de moins », selon une étude parue en 2017*. Mais, autant vous le dire tout de suite, on a une voiture. La bonne nouvelle? En vivant en ville, on peut tout à fait s’en passer!
Bien choisir le lait, puis les aliments offerts à notre petite merveille est essentiel pour limiter son empreinte carbone. Pour commencer, allaiter est l’idéal. Ensuite, miser sur des produits locaux, de saison et achetés en vrac. Concocter juste des repas végétaliens serait encore mieux, sauf qu’on n’en est pas encore là.
Pour préparer l’arrivée d’un bébé, il y a toute une série de bébelles à acheter. Voici quelques-unes des stratégies que nous, les apprentis parents, avons instaurées pour limiter l’empreinte carbone du kit de naissance de notre poupon.
Comme 600 millions de couches jetables finissent au dépotoir chaque année, au Québec, des parents optent pour une méthode inusitée : l’hygiène naturelle infantile ou le « sans-couches ».
Quitter la ville pour s'installer à la campagne et y exploiter une terre. C'est le choix de vie opéré en 2016 par Marie-Hélène Lagueux-Tremblay et son conjoint Charles Wouters qui ont déménagé de Québec pour s'établir à Saint-Valérien, près de Rimouski, sur un terrain de 75 hectares.
Sept locataires, une cuisine, une salle de bain, un ensemble laveuse sécheuse, deux voitures et presque un seul kit pour bambin! Depuis 2017, cinq trentenaires, dont deux couples et leur enfant, partagent tout dans leur loft du quartier Saint-Henri, à Montréal. Plongez au cœur de cette colocation nouveau genre, dont les bienfaits économiques se répercutent aussi sur le climat.
Célébrer ses noces en minimisant leur empreinte carbone? Deux couples – l’un déjà marié, l’autre qui convolera bientôt – ont dit ouiiiiiiii!
Une vie à faible impact carbone, ça commence à la garderie. Du moins dans certains CPE du Québec qui mettent l’action face aux changements climatiques au cœur de leurs activités. Visite guidée.
Une maison avec trois salles de bains et deux cuisines, très peu pour eux. À Sherbrooke, des familles s’apprêtent à emménager dans le premier quartier de minimaisons urbaines au Canada, ce qui réduira à la fois leur empreinte carbone et leur facture d’électricité.
Charge mentale, vulnérabilité économique : les femmes sont les plus touchées par les impacts des changements climatiques. Paradoxalement, cela les positionne au cœur de la solution.
