La trottinette du futur vient de Sherbrooke

array(26) { ["ID"]=> int(5730) ["post_author"]=> string(1) "6" ["post_date"]=> string(19) "2017-08-16 00:00:00" ["post_date_gmt"]=> string(19) "2017-08-16 04:00:00" ["post_content"]=> string(2415) "

C’est en cherchant une solution de rechange à la bicyclette et, surtout, à la voiture que Sabine et Jean-Luc, deux Sherbrookois d’adoption ingénieux et débrouillards, ont créé un nouveau moyen de transport électrique.

Il n’a pas fallu beaucoup de temps pour que la machine, d’abord conçue pour répondre à leurs besoins personnels, fasse l’envie du reste du monde. Avec une autonomie de 50 km, un temps de recharge de 4 h et une vitesse de 32 km/h, le Geebee est parfait pour les déplacements quotidiens.

Disponible au cout de 3 900 $, le Geebee se situe dans la fourchette de prix des vélos électriques.

Rencontrée lors du Sommet mondial sur la mobilité durable, à Montréal, Sabine le décrit comme un moyen de transport doux, accessible et plaisant qui permet de se déplacer de façon autonome. Si l’objet peut susciter une certaine appréhension, il suffit d’y poser le pied pour réaliser qu’il est en réalité très facile à conduire.

Bientôt dans les festivals

On peut utiliser le Geebee sur tous types de terrains, qu’ils soient asphaltés ou constitués de poussière de roches, de terre ou de gravelle. On peut donc s’en servir autant de manière récréative qu’utilitaire. Ses créateurs l’ont d’ailleurs utilisé lors de leurs vacances aux États-Unis comme unique moyen de transport pour parcourir la ville de Boston.

Pour l’instant, ce sont surtout les établissements récréotouristiques de type resorts qui se montrent intéressés à acheter le Geebee, mais Sabine et Jean-Luc voient dans leur invention un énorme potentiel au sein de la mobilité corporative.

Il peut être utilisé pour les opérations logistiques sur des sites festivaliers ou encore pour la circulation d’employés sur des sites industriels. Il permet de réduire les coûts et le temps alloué au déplacement lorsqu’on le substitue à une voiture de location ou à un taxi. C’est aussi et surtout une excellente manière pour une entreprise de réduire ses émissions de gaz à effet de serre.

" ["post_title"]=> string(43) "La trottinette du futur vient de Sherbrooke" ["post_excerpt"]=> string(157) "Non, ceci n’est pas un scooter ni une trottinette. À mi chemin entre les deux, le Geebee est un mobipode qui permet de rouler vite tout en restant debout." ["post_status"]=> string(7) "publish" ["comment_status"]=> string(6) "closed" ["ping_status"]=> string(6) "closed" ["post_password"]=> string(0) "" ["post_name"]=> string(43) "la-trottinette-du-futur-vient-de-sherbrooke" ["to_ping"]=> string(0) "" ["pinged"]=> string(0) "" ["post_modified"]=> string(19) "2020-02-03 21:41:51" ["post_modified_gmt"]=> string(19) "2020-02-04 02:41:51" ["post_content_filtered"]=> string(0) "" ["post_parent"]=> int(0) ["guid"]=> string(81) "https://unpointcinq.ca/non-classifiee/la-trottinette-du-futur-vient-de-sherbrooke/" ["menu_order"]=> int(71) ["post_type"]=> string(4) "post" ["post_mime_type"]=> string(0) "" ["comment_count"]=> string(1) "0" ["filter"]=> string(3) "raw" ["header"]=> string(4) "blog" ["displayCategories"]=> bool(true) }
Created with Lunacy 2 min

16 août 2017 - Angelica Alberti Dufort, Geek de jazz et d'environnement

Non, ceci n’est pas un scooter ni une trottinette. À mi chemin entre les deux, le Geebee est un mobipode qui permet de rouler vite tout en restant debout.

C’est en cherchant une solution de rechange à la bicyclette et, surtout, à la voiture que Sabine et Jean-Luc, deux Sherbrookois d’adoption ingénieux et débrouillards, ont créé un nouveau moyen de transport électrique.

Il n’a pas fallu beaucoup de temps pour que la machine, d’abord conçue pour répondre à leurs besoins personnels, fasse l’envie du reste du monde. Avec une autonomie de 50 km, un temps de recharge de 4 h et une vitesse de 32 km/h, le Geebee est parfait pour les déplacements quotidiens.

Disponible au cout de 3 900 $, le Geebee se situe dans la fourchette de prix des vélos électriques.

Rencontrée lors du Sommet mondial sur la mobilité durable, à Montréal, Sabine le décrit comme un moyen de transport doux, accessible et plaisant qui permet de se déplacer de façon autonome. Si l’objet peut susciter une certaine appréhension, il suffit d’y poser le pied pour réaliser qu’il est en réalité très facile à conduire.

Bientôt dans les festivals

On peut utiliser le Geebee sur tous types de terrains, qu’ils soient asphaltés ou constitués de poussière de roches, de terre ou de gravelle. On peut donc s’en servir autant de manière récréative qu’utilitaire. Ses créateurs l’ont d’ailleurs utilisé lors de leurs vacances aux États-Unis comme unique moyen de transport pour parcourir la ville de Boston.

Pour l’instant, ce sont surtout les établissements récréotouristiques de type resorts qui se montrent intéressés à acheter le Geebee, mais Sabine et Jean-Luc voient dans leur invention un énorme potentiel au sein de la mobilité corporative.

Il peut être utilisé pour les opérations logistiques sur des sites festivaliers ou encore pour la circulation d’employés sur des sites industriels. Il permet de réduire les coûts et le temps alloué au déplacement lorsqu’on le substitue à une voiture de location ou à un taxi. C’est aussi et surtout une excellente manière pour une entreprise de réduire ses émissions de gaz à effet de serre.