Quatre règles d’or pour réduire ses déchets
Le meilleur déchet pour le climat est celui que l'on ne produit pas. Facile à dire, mais comment on fait dans la vraie vie pour mettre notre poubelle au régime? On commence par poser ces quatre gestes-là.
Que des solutions concrètes et inspirantes. Ici au Québec. Pour ceux qui veulent s’y mettre comme pour les initiés. Pas l’temps de niaiser.
Nos journalistes mettent de l’avant des avancées positives, des initiatives prometteuses et des gestes qui créent le mouvement. On est rigoureux, sans se prendre au sérieux.
Le meilleur déchet pour le climat est celui que l'on ne produit pas. Facile à dire, mais comment on fait dans la vraie vie pour mettre notre poubelle au régime? On commence par poser ces quatre gestes-là.
Si une majorité de Québécois ne partent plus faire leur épicerie sans leurs sacs réutilisables, de plus en plus y ajoutent aussi leurs contenants réutilisables. C’est que les épiceries zéro déchet se multiplient à l’échelle de la province et la clientèle est au rendez-vous. Survol de deux concepts à succès nés à Montréal.
Début 2020, le plastique à usage unique était une espèce en voie d’extinction, soigneusement éradiquée à coups de règlements municipaux. Mais la pandémie de COVID-19 a tout changé : de nombreux commerces ont soudainement refusé les sacs réutilisables, espérant ainsi réduire les risques de propagation du coronavirus.
Pour réduire la production de déchets à la source, de nombreuses municipalités québécoises offrent une subvention aux femmes qui optent pour des produits d’hygiène féminine durables.
En bordure de la route 117 à Lac-Saguay, dans les Hautes-Laurentides, vivent deux adultes et deux chats qui ont produit un tout petit sac de déchets ces 15 derniers mois. Tant et si bien que Patricia Bélanger et son conjoint Dany Courtemanche ont « mis leur poubelle noire à la retraite ».
Nancy Sorel et Stéphane Babeux se sont dit ouiiiiii fin août à Lacolle. Un mariage presque comme les autres avec des fleurs, de la déco, du beau linge et un repas de fête, à la différence près que les mariés ont voulu minimiser son empreinte carbone. Unpointcinq les a suivis pas à pas le jour J pour en savoir plus sur leur démarche. Tous à la noce !
Déjà la mi-août! La rentrée scolaire et la corvée des boîtes à lunch approchent. Pour survivre aux sandwichs en série, voici quelques conseils pratico-pratiques pour faire des économies et réduire du même coup votre empreinte carbone.
Diminuer sa production de déchets jusqu’à ne plus avoir besoin de poubelle, mission impossible? Pas pour ces Québécoises et Québécois comme vous et moi qui ont fait subir une cure minceur à leurs détritus et réduit d’autant leur empreinte carbone.
Revaloriser les fils de vêtements usagés ou développer des patrons de vêtements zéro déchet : ce ne sont pas les idées qui manquent à la chercheuse spécialisée en textile, Marianne-Coquelicot Mercier. Son objectif : freiner l’impact sur la planète du fast fashion [renouvellement rapide des vêtements], responsable d’environ 8 % des émissions totales de gaz à effet de serre.
Un mariage zéro déchet? « Oui, je le veux! » Bonne nouvelle : ce n’est pas plus long à organiser et ça vous coûtera moins cher. Alors, comment on s’y prend? Certainement pas en faisant la tournée des poubelles en fin de soirée!